samedi 28 juillet 2007
Special Announcement
Regard sur les Etats-Unis prend quelques jours de vacances et revient à partir du mois de septembre. Bonnes Vacances à tous !
lundi 23 juillet 2007
Quand internet s’invite dans la campagne présidentielle

Libellés :
Election Présidentielle 2008
samedi 21 juillet 2007
La semaine en bref :

vendredi 20 juillet 2007
La sortie d’Harry Potter aux Etats-Unis déchaine les passions

En ce qui concerne exclusivement le marché américain, l’éditeur Scholastic Inc. a prévu un premier tirage de 12 millions de livres, afin de faire face à la demande (cela constitue un record pour la série des Harry Potter). Mais Harry Potter est désormais bien plus qu’un simple livre. C’est un véritable phénomène de société. Aux Etats-Unis, on étudie l’impact d’Harry Potter dans certaines universités, et la direction du Parc Universal d’Orlando en Floride vient d’annoncer en mai, la construction d’un complexe intitulé « Wisarding World of Harry Potter ». Cet ensemble de 20 hectares devrait ouvrir en 2009. Son coût attendrait les 180 millions d’euros.
A l’occasion de la sortie du dernier tome, de nombreuses librairies américaines ont décidé d’imiter celles du vieux continent en proposant de nombreuses festivités, de manière à faire patienter avant l’heure fatidique de midi.
Mais aux Etats-Unis, les libraires et surtout les supermarchés peuvent utiliser Harry Potter en le vendant moins cher que certaines petites librairies. Les prix d’appels sont autorisés. A titre d’exemple, le géant de la grande distribution Wal-Mart annonce un prix d’achat de 17,5$ contre 35$ en prix normal ! La vente de livres d’Harry Potter est donc devenue un vrai business. A tel point que certains distributeurs outre-Atlantique ont violé l’embargo de J.K Rowling : 1 200 exemplaires du dernier tome de la saga ont été écoulés avant l’heure. La pression semble tellement forte, que le très sérieux New York Times a révélé dans son édition datée de vendredi, le nombre de personnes qui allaient trouver la mort dans le dernier ouvrage.
Harry Potter n’a pas fini de faire parler de lui…
Pour en savoir plus :
- Le site de l'éditeur américain consacré à Harry Potter : http://www.scholastic.com/harrypotter/home.asp
A l’occasion de la sortie du dernier tome, de nombreuses librairies américaines ont décidé d’imiter celles du vieux continent en proposant de nombreuses festivités, de manière à faire patienter avant l’heure fatidique de midi.
Mais aux Etats-Unis, les libraires et surtout les supermarchés peuvent utiliser Harry Potter en le vendant moins cher que certaines petites librairies. Les prix d’appels sont autorisés. A titre d’exemple, le géant de la grande distribution Wal-Mart annonce un prix d’achat de 17,5$ contre 35$ en prix normal ! La vente de livres d’Harry Potter est donc devenue un vrai business. A tel point que certains distributeurs outre-Atlantique ont violé l’embargo de J.K Rowling : 1 200 exemplaires du dernier tome de la saga ont été écoulés avant l’heure. La pression semble tellement forte, que le très sérieux New York Times a révélé dans son édition datée de vendredi, le nombre de personnes qui allaient trouver la mort dans le dernier ouvrage.
Harry Potter n’a pas fini de faire parler de lui…
Pour en savoir plus :
- Le site de l'éditeur américain consacré à Harry Potter : http://www.scholastic.com/harrypotter/home.asp
mercredi 18 juillet 2007
Le condamné à mort Troy Anthony Davis obtient un sursis de 90 jours


dimanche 15 juillet 2007
Focus sur "Dateline : to catch a predator"

samedi 14 juillet 2007
La semaine en bref

- Selon un sondage Gallup, 6% des américains souhaitent que le président fasse des excuses publiques suite à l’amnistie partielle de Lewis Scooter Libby ; deux tiers d’entres eux estiment que le président n’aurait pas dû intervenir dans cette affaire. La côte de popularité du président a atteint son plus bas historique : 29% d’opinion favorable. - Mauvaise semaine également pour le candidat républicain à la Maison Blanche John McCain : deux de ses plus fidèles organisateurs de campagne ont démissionné. - La Floride vient d’adopter des mesures pour lutter contre le réchauffement climatique : les objectifs fixés par les autorités de l’Etat fédéré sont une réduction de l’émission des gaz à effet de serre de 80% en dessous de leur niveau en 1990 d’ici à 2050. La Floride se range donc du côté des Etats qui veulent lutter contre le réchauffement climatique, comme la Californie ou plus récemment : le New Jersey. - Antonio Villaraigosa, actuel maire de Los Angeles, vient d’annoncer publiquement qu’il avait trompé sa femme. La presse se déchaîne depuis plusieurs jours depuis que ses frasques conjugales ont été révélées au grand jour. L’étoile montante du parti démocrate avit une liaison avec la journaliste vedette de Telemundo TV. - Du côté républicain, le directeur de campagne de Rudolph Giuliani pour les Etats du Sud vient de se faire épingler pour les mêmes raisons alors qu’il mettait un point d’orgue à prêcher les valeurs familiales conservatrices. - Le footballeur David Beckam a été présenté à la presse ce vendredi devant une nuée de paparazzi. La star du soccer britannique a signé un contrat de 5 ans avec l’équipe des Los Angeles Galaxy. Le prix faramineux avancé par le club pour débaucher Beckam sera notamment financé par les produits dérivés et une hausse du coût de l’abonnement des supporters.
Décès d’une ex-First Lady: Lady Bird Johnson

jeudi 12 juillet 2007
Rapport préoccupant de la Maison Blanche sur la situation en Irak : Bush campe sur ses positions

Un rapport publié ce matin par la Maison Blanche fait état de progrès insatisfaisants en Irak. Le document fait le point sur 18 objectifs fixés pour améliorer la situation dans la région. Sur l’ensemble de ces objectifs, 8 sont satisfaisants mais 8 autres ne le sont pas (les 2 derniers ont une réussite mitigée).
Même si ce rapport n’est pas spécialement positif pour Georges W. Bush, il est utile de souligner que l’essentiel des critiques sont adressées à l’égard du gouvernement Irakien et de son premier ministre Nouri al-Maliki.
Mais le président américain a tenu immédiatement à faire cesser toute polémique. Il a pour cela tenu une conférence de presse à la suite de la publication, et a réaffirmé qu’il ne s’agissait que d’un rapport préliminaire et qu’il ne prendrait aucune décision avant la remise des conclusions du général Petraeus, le 15 septembre prochain.
Pour autant, le ton monte à Washington entre les parlementaires et le gouvernement sur la question du maintien des troupes en Irak. Alors que l’opinion publique américaine a clairement basculé, de plus en plus de parlementaires républicains commencent à critiquer la stratégie du président. En début de semaine, il semble que le fossé entre le Congrès et la Maison Blanche se soit creusé : le porte-parole de la présidence américaine, Tony Snow, a déclaré que le rapport de septembre ne serait qu’un début et que les opérations en Irak "ne font que commencer". Cette minimisation n’a fait qu’augmenter les tensions entre partisans et opposants de la politique de Georges W. Bush.
Alors que la côte de popularité du président a atteint son plus bas historique (29% d’opinion favorable), 62% des américains estiment que l’envoi des troupes en Irak a été une erreur (sondage publié par USA Today de l’institut Gallup).
Il y a quelques années, il semble que la "Vieille Europe" n’avait peut-être pas tout à fait tord...
Pour en savoir plus :
- Le rapport de la Maison Blanche en PDF : http://www.whitehouse.gov/nsc/iraq/2007/FinalBenchmarkReport.pdf
Même si ce rapport n’est pas spécialement positif pour Georges W. Bush, il est utile de souligner que l’essentiel des critiques sont adressées à l’égard du gouvernement Irakien et de son premier ministre Nouri al-Maliki.
Mais le président américain a tenu immédiatement à faire cesser toute polémique. Il a pour cela tenu une conférence de presse à la suite de la publication, et a réaffirmé qu’il ne s’agissait que d’un rapport préliminaire et qu’il ne prendrait aucune décision avant la remise des conclusions du général Petraeus, le 15 septembre prochain.
Pour autant, le ton monte à Washington entre les parlementaires et le gouvernement sur la question du maintien des troupes en Irak. Alors que l’opinion publique américaine a clairement basculé, de plus en plus de parlementaires républicains commencent à critiquer la stratégie du président. En début de semaine, il semble que le fossé entre le Congrès et la Maison Blanche se soit creusé : le porte-parole de la présidence américaine, Tony Snow, a déclaré que le rapport de septembre ne serait qu’un début et que les opérations en Irak "ne font que commencer". Cette minimisation n’a fait qu’augmenter les tensions entre partisans et opposants de la politique de Georges W. Bush.
Alors que la côte de popularité du président a atteint son plus bas historique (29% d’opinion favorable), 62% des américains estiment que l’envoi des troupes en Irak a été une erreur (sondage publié par USA Today de l’institut Gallup).
Il y a quelques années, il semble que la "Vieille Europe" n’avait peut-être pas tout à fait tord...
Pour en savoir plus :
- Le rapport de la Maison Blanche en PDF : http://www.whitehouse.gov/nsc/iraq/2007/FinalBenchmarkReport.pdf
mardi 10 juillet 2007
Internet et la campagne présidentielle 2008

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Election Présidentielle 2008
Internet : pas si égalitaire qu'il n'y parait

samedi 7 juillet 2007
Vagues de chaleur à l’Ouest

Al Gore sous les feux de l’actualité

Le concert américain se tiendra dans le gigantesque stade des Giants à New York. Le stade a la capacité d’accueillir plus de 80 000 personnes. Le concert sera retransmis sur le network de NBC à partir de 20 heures (East Cost).
Al Gore fait partie en effet d’une nouvelle génération d’hommes politiques et d’entrepreneurs responsables. L’auteur de deux best sellers aux Etats-Unis (« Earth In the Balance : Ecology and the Human Spirit » et « An Inconvenient Truth ») vient de cofonder et préside actuellement Generation Investment Management : une firme basée sur la nouvelle approche des investissements durables. Parallèlement, Al Gore vient de créer Current TV, une nouvelle chaîne de télévision satellitaire indépendante destinée à un public relativement jeune et dont les émissions sont directement fournies par des journalistes citoyens.
Mais cette semaine en Amérique, il semble que ce soit son fils qui lui ait volé la vedette. En effet, Al Gore III a été arrêté mercredi pour excès de vitesse sur une autoroute californienne. En inspectant le véhicule suite à l’interpellation du fils de l’ex-candidat, le sheriff adjoint a découvert une petite quantité de marijuana. Initialement placé en garde à vue, Al Gore junior a été relâché sous caution peu de temps après son arrestation. Il sera appelé à comparaitre dans les 30 jours selon les autorités de Santa Ana.
Al Gore ne devrait pas pâtir de cet incident, néanmoins, il semble que le message contre le réchauffement climatique ait été relayé au second plan…

Pour en savoir plus :
- Le site officiel du Live Earth : http://www.liveearth.org/,
- Pour regarder le show en direct : http://liveearth.msn.com/,
- Le site de Current TV : http://www.current.tv/,
- Le site de Generation Investment Management : http://www.generationim.com/.
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Politique : Personnalités,
Société
jeudi 5 juillet 2007
Enjeux de Campagne : l’Avortement (1)

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Election Présidentielle 2008
John Edwards (Démocrate)

John Edwards est né en 1953 en Caroline du Sud. Issu d’une famille modeste, il obtient un diplôme de droit à l’Université de Caroline du Nord et rencontre sa femme elle-même étudiante. Ils ont ensemble eu quatre enfants. Suite au décès de l’un d’entre eux, sa femme Elisabeth décide de stopper sa carrière d’avocate et John décide parallèlement de se lancer en politique.
Antérieurement à sa carrière politique, M. Edwards était un avocat spécialisé dans la défense des consommateurs (notamment dans les litiges médicaux).
En 1998, il devient sénateur de la Caroline du Nord en battant le sénateur sortant Lauch Faircloth avec 51,2% des suffrages. Sous la présidence de Bill Clinton, et lors de la procédure de l’impeachment en 1999, il sera chargé de prendre la déposition de Mme Lewinsky.
En 2004, Edwards annonce qu’il se lance dans sa première course à la présidentielle. Sa campagne démarre très fort et parvient à faire oublier les candidatures des favoris de l’époque : Howard Dean et Joseph Liberman. Sentant le danger venir, John Kerry décide de le désigner colistier sur le ticket démocrate en juillet (futur vice-président en cas de victoire du candidat principal). Pourtant, cela ne suffira pas et John Kerry perdra l’élection contre le républicain Georges W. Bush anéantissant par conséquent la carrière politique de son protégé.
Mais le 28 décembre 2006, John Edwards annonce officiellement sa candidature pour l’élection présidentielle de 2008. Pour l’anecdote, sa campagne avait déjà mal commencé avant son annonce officielle, puisque sa candidature avait été révélée accidentellement un jour avant, sur son site internet.
S’il on se réfère aux sondages, John Edwards est actuellement le troisième homme chez les démocrates et sa campagne n’arrive pas réellement à percer. Il est en effet nettement distancé dans les sondages par Hillary Clinton et Barack Obama. Il arriverait cependant premier dans les sondages dans l’Iowa et deuxième dans le Nevada.
Au niveau des idées qu’il défend, John Edwards a donné une orientation beaucoup plus progressiste à sa campagne par rapport à celle de 2004. Le candidat démocrate a axé sa campagne sur des thèmes comme l’élimination de la pauvreté, la lutte contre le réchauffement climatique et prône un système de protection sociale universelle. Il n’a pas encore pris position dans le débat sur le mariage homosexuel. John Edwards est notamment célèbre pour son revirement sur la question de la guerre en Irak. Le sénateur avait notamment voté la loi sur l’engagement militaire en Irak en 2004. Mais depuis, John Edwards est devenu un fervent opposant de cette guerre et s’est excusé sur ce sujet se démarquant ainsi de sa rivale Hillary Clinton.
Le troisième homme créera t-il la surprise ? La question semble prématurée à plus d’un an de l’élection présidentielle. Une chose est sûre, pour le moment ce n’est pas le mieux placé dans les sondages. L’avenir nous dira si les sondages avaient raison. Pour en savoir plus : - "Ending Poverty in America: How to Restore the American Dream"
Biographie : Date du dépôt officiel de candidature : 3 Janvier 2007 Profession Actuelle : Avocat, Ancien directeur du Center on Poverty, Work and Opportunity de l’Université de Caroline du Nord. Situation Familiale : Marié à Elizabeth Anania depuis 1977, quatre enfants : Jack, Emma Claire, Catharine et Wade. Religion : Méthodiste Cursus : North Carolina State University, B.S (1974) ; University of North Carolina, J.D (1977) Principaux Soutiens : Ben Stiller, Oliver Stone, Seth Green… Site Internet de Campagne : http://johnedwards.com/

mardi 3 juillet 2007
Independence Day

Fête Nationale des Etats-Unis, le 4 juillet est un jour férié outre-Atlantique. Cette journée commémore la naissance de la nation américaine : le 4 juillet 1976. Il s’agit traditionnellement d’une journée de défilés patriotiques, de pique-niques en plein air, de concerts et de feux d’artifice. Souvent, c’est également l’occasion de faire flotter son drapeau devant sa maison.
Happy Independence Day !
Happy Independence Day !
Lewis Libby partiellement gracié par Georges W. Bush

lundi 2 juillet 2007
Clin d’œil : Hillary Clinton, simple rivale de Sarkozy ?
Selon le candidat Républicain à la présidentielle de 2008, Mitt Romney, Hillary Clinton tendrait dangereusement vers des propositions économiques plus françaises qu’américaines. Les politiques publiques gauloises ont toujours autant la côte outre-Atlantique…
Pour en savoir plus :
- le très bon site Mitt Romney et la France (en Français) : http://mittromneyfrance.canalblog.com/
- le très bon site Mitt Romney et la France (en Français) : http://mittromneyfrance.canalblog.com/
Obama devance Clinton dans la course au financement de leurs candidatures

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Election Présidentielle 2008
dimanche 1 juillet 2007
Rehaussement des mesures de sécurité dans les aéroports

Pour autant, il s’agit de mesures préventives car les Etats-Unis n’ont pas reçu de menaces particulières. Le porte-parole de la Maison-Blanche, Tony Snow, a indiqué qu’il s’agissait d’une simple précaution.
Vendredi, le Department of Homeland Security a précisé que le niveau d’alerte contre d’éventuelles attaques terroristes n’avait pas été relevé. M. Chertoff (secretary of Department of Homeland Security) a tenu à rappeler que les américains devaient rester vigilent à l’approche de la fête nationale du 4 juillet.
A l’heure actuelle, le niveau d’alerte reste donc au niveau 3 ce qui signifie qu’il existe un risque élevé d’attentat terroriste sur le sol américain (niveau jaune). Toutefois ce niveau est relevé d’un cran en ce qui concerne le secteur aérien (niveau orange).

Sévère revers pour l’administration Bush : le projet de loi sur l’immigration est enterré

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