Tous les regards sont désormais tournés vers l’échéance du 4 mars prochain. Alors que du côté des républicains tout semble déjà joué (seule l’identité du colistier de John McCain reste à déterminer), l’enjeu reste fondamental pour les candidats démocrates.
Barack Obama est actuellement crédité de 1384 délégués contre 1279 délégués pour sa rivale. Pour remporter l’investiture du parti démocrate, le vainqueur devra obtenir le soutien de 2025 délégués. L’écart est encore mince mais les scrutins de mardi sont tout de même fondamentaux. Plusieurs défaites supplémentaires pour Hillary Clinton renforceraient encore un peu plus le statut de présidentiable de son adversaire. En effet, Barack Obama pourrait en cas de succès, creuser l’écart sur sa rivale et poursuivre sur sa lancée (11 victoires successives depuis le Super Tuesday).
Il y a quelques jours, à la suite du débat diffusé sur MSNBC, nous affirmions qu’Hillary Clinton allait devoir prendre plus de risques si elle souhaitait reprendre l’avantage sur Barack Obama. Des sondages plutôt défavorables à la sénatrice de New York viennent de la pousser à passer à l’offensive.
Dans un spot télévisé diffusé au Texas (où les derniers sondages l’annoncent perdante), Hillary Clinton joue sur la peur des électeurs et cherche à démontrer qu’elle aurait plus d’expérience que Barack Obama en cas de crise internationale majeure. Dans cette publicité, deux enfants dorment paisiblement lorsqu’une voix-off déclare que : lorsque à trois heures du matin il y a un téléphone qui sonne à la Maison Blanche et que quelque chose se passe dans le monde, le vote des électeurs déterminera qui va répondre à cet appel.
Barack Obama a rapidement rétorqué que sa légitimité avait déjà été démontrée en 2002, lorsqu’elle avait voté en faveur de la guerre en Irak.
Autre polémique médiatisée depuis quelques jours : celle des pressions que subiraient actuellement les superdélégués démocrates pour soutenir tel ou tel candidat. On assiste en effet à certaines trahisons politiques d’anciens partisans d’Hillary Clinton soutenant désormais Barack Obama. Des pressions auraient été exercées notamment par le biais d’e-mails contenant des menaces.
Selon certains analystes, la campagne pourrait bien continuer au-delà de l’échéance du mardi 4 mars. Si l’écart restait très serré entre Hillary Clinton et Barack Obama, aucun des candidats ne serait alors discrédité.
Barack Obama est actuellement crédité de 1384 délégués contre 1279 délégués pour sa rivale. Pour remporter l’investiture du parti démocrate, le vainqueur devra obtenir le soutien de 2025 délégués. L’écart est encore mince mais les scrutins de mardi sont tout de même fondamentaux. Plusieurs défaites supplémentaires pour Hillary Clinton renforceraient encore un peu plus le statut de présidentiable de son adversaire. En effet, Barack Obama pourrait en cas de succès, creuser l’écart sur sa rivale et poursuivre sur sa lancée (11 victoires successives depuis le Super Tuesday).
Il y a quelques jours, à la suite du débat diffusé sur MSNBC, nous affirmions qu’Hillary Clinton allait devoir prendre plus de risques si elle souhaitait reprendre l’avantage sur Barack Obama. Des sondages plutôt défavorables à la sénatrice de New York viennent de la pousser à passer à l’offensive.
Dans un spot télévisé diffusé au Texas (où les derniers sondages l’annoncent perdante), Hillary Clinton joue sur la peur des électeurs et cherche à démontrer qu’elle aurait plus d’expérience que Barack Obama en cas de crise internationale majeure. Dans cette publicité, deux enfants dorment paisiblement lorsqu’une voix-off déclare que : lorsque à trois heures du matin il y a un téléphone qui sonne à la Maison Blanche et que quelque chose se passe dans le monde, le vote des électeurs déterminera qui va répondre à cet appel.
Barack Obama a rapidement rétorqué que sa légitimité avait déjà été démontrée en 2002, lorsqu’elle avait voté en faveur de la guerre en Irak.
Autre polémique médiatisée depuis quelques jours : celle des pressions que subiraient actuellement les superdélégués démocrates pour soutenir tel ou tel candidat. On assiste en effet à certaines trahisons politiques d’anciens partisans d’Hillary Clinton soutenant désormais Barack Obama. Des pressions auraient été exercées notamment par le biais d’e-mails contenant des menaces.
Selon certains analystes, la campagne pourrait bien continuer au-delà de l’échéance du mardi 4 mars. Si l’écart restait très serré entre Hillary Clinton et Barack Obama, aucun des candidats ne serait alors discrédité.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire