Alors que les deux prétendants s’affrontaient par petites phrases interposées, l’économie est revenue au centre de la campagne après que la banque d’affaire Lehman Brothers se soit déclarée en faillite.
Les deux candidats à l’élection présidentielle ont affirmé dès la journée de dimanche, qu’ils approuvaient le fait que le gouvernement fédéral n’intervienne pas pour renflouer la banque. Dès lundi, suite à l’annonce de la faillite, les deux candidats ont précisé que la réforme des systèmes de régulation des marchés financiers américains constituerait une priorité de leur future présidence.
Au cours de cette journée noire sur les marchés financiers, Barack Obama a plaidé en faveur de l’interventionnisme étatique. Tout en qualifiant la crise bancaire que traversent les Etats-Unis de « menace majeure » pour l’économie américaine, le sénateur de l’Illinois a réaffirmé que la priorité demeurait la stabilisation du marché de l’immobilier. Le candidat démocrate a également profité de l’occasion pour expliquer qu’il tenait responsable de la crise actuelle, « la philosophie économique à laquelle souscrit John McCain ». De plus, il a ajouté qu’il pensait que son adversaire républicain ne « comprenait pas la crise actuelle », « sinon, pourquoi dirait-il que les fondamentaux de notre économie sont solides ».
De son côté John McCain est apparu moins alarmiste que son adversaire démocrate. Tout en réaffirmant que la « crise n’était pas de la faute des américains », il a précisé qu’elle était une conséquence des « intérêts particuliers, de la cupidité, de l’irresponsabilité et de la corruption qui ont anéanti le dur labeur des américains ». Pourtant, le sénateur de l’Arizona s’est tout de même montré préoccupé vis-à-vis de la protection des dépôts des américains : « nous ne pouvons pas accepter un système qui handicape nos banques et met en danger les économies de la population américaine » a-t-il ajouté.
Comme vous l’aurez compris, l’économie est bel et bien de retour au centre de toutes attentions.
Les deux candidats à l’élection présidentielle ont affirmé dès la journée de dimanche, qu’ils approuvaient le fait que le gouvernement fédéral n’intervienne pas pour renflouer la banque. Dès lundi, suite à l’annonce de la faillite, les deux candidats ont précisé que la réforme des systèmes de régulation des marchés financiers américains constituerait une priorité de leur future présidence.
Au cours de cette journée noire sur les marchés financiers, Barack Obama a plaidé en faveur de l’interventionnisme étatique. Tout en qualifiant la crise bancaire que traversent les Etats-Unis de « menace majeure » pour l’économie américaine, le sénateur de l’Illinois a réaffirmé que la priorité demeurait la stabilisation du marché de l’immobilier. Le candidat démocrate a également profité de l’occasion pour expliquer qu’il tenait responsable de la crise actuelle, « la philosophie économique à laquelle souscrit John McCain ». De plus, il a ajouté qu’il pensait que son adversaire républicain ne « comprenait pas la crise actuelle », « sinon, pourquoi dirait-il que les fondamentaux de notre économie sont solides ».
De son côté John McCain est apparu moins alarmiste que son adversaire démocrate. Tout en réaffirmant que la « crise n’était pas de la faute des américains », il a précisé qu’elle était une conséquence des « intérêts particuliers, de la cupidité, de l’irresponsabilité et de la corruption qui ont anéanti le dur labeur des américains ». Pourtant, le sénateur de l’Arizona s’est tout de même montré préoccupé vis-à-vis de la protection des dépôts des américains : « nous ne pouvons pas accepter un système qui handicape nos banques et met en danger les économies de la population américaine » a-t-il ajouté.
Comme vous l’aurez compris, l’économie est bel et bien de retour au centre de toutes attentions.
1 commentaires:
C'est assez halucinant comment une grosse banque comme Lehman en arrive à la faillite... en même temps ils récoltent ce qu'ils ont semé plus tot... fallait pas prendre tant de risque.
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