
Il a également précisé que l’atout d’Obama était sa capacité à capter un électorat plus large que celui traditionnellement démocrate.
John Edwards, tout comme certain ténors du parti de l’Ane, refuse donc de jouer les arbitres de ces primaires.
Il y a un mois, jour pour jour, Elizabeth Edwards affirmait avoir davantage confiance en la politique de santé proposée par Hillary Clinton que dans celle de Barack Obama. Soutien indéfectible de son mari, Mme Edwards est atteinte d’un cancer incurable.
Si John Edwards pourrait pencher pour Obama, il semble que sa femme préfèrerait la candidature de Mme Clinton.
Encore une illustration de la division du parti…
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