Ce mardi, deux Etats organisent leurs primaires : l’Oregon (52 délégués en jeu) et le Kentucky (51). Selon les derniers sondages, Hillary Clinton devrait remporter assez largement le Kentucky, alors que les électeurs de l’Oregon seraient favorables à Barack Obama (néanmoins le scrutin risque d’être beaucoup plus serré).
Quels sont les enjeux de ces primaires ?
Pour Barack Obama, son équipe de campagne a d’ores et déjà annoncé qu’il pourrait annoncer sa victoire à l’investiture aujourd’hui. En effet, selon les estimations des analystes politiques, il ne lui manque plus que 17 délégués « classiques » pour remporter la majorité de cette catégorie de délégués.
De son côté, Hillary Clinton affirme qu’elle n’abandonnera pas ce soir et qu’elle poursuivra jusqu’au bout. Elle précise que l’investiture se jouera grâce aux soutiens des superdélégués.
Pourtant, même dans cette catégorie de délégués, la sénatrice de New York est désormais dépassée (277 contre 302 pour Barack Obama). Rien qu’hier, 5 nouveaux superdélégués se sont prononcés en faveur de son rival.
On comprend donc que ces primaires ne renverseront pas la tendance actuelle, quel que soit le résultat final. A l’issue de ces deux scrutins, il ne restera plus que trois dernières primaires (le 1er juin à Porto Rico et le 3 juin dans le Montana et dans le Dakota du Sud).
Quoi qu’il arrive, et malgré une campagne pleine de rebondissement, la fin semble proche pour les primaires démocrates.
Quels sont les enjeux de ces primaires ?
Pour Barack Obama, son équipe de campagne a d’ores et déjà annoncé qu’il pourrait annoncer sa victoire à l’investiture aujourd’hui. En effet, selon les estimations des analystes politiques, il ne lui manque plus que 17 délégués « classiques » pour remporter la majorité de cette catégorie de délégués.
De son côté, Hillary Clinton affirme qu’elle n’abandonnera pas ce soir et qu’elle poursuivra jusqu’au bout. Elle précise que l’investiture se jouera grâce aux soutiens des superdélégués.
Pourtant, même dans cette catégorie de délégués, la sénatrice de New York est désormais dépassée (277 contre 302 pour Barack Obama). Rien qu’hier, 5 nouveaux superdélégués se sont prononcés en faveur de son rival.
On comprend donc que ces primaires ne renverseront pas la tendance actuelle, quel que soit le résultat final. A l’issue de ces deux scrutins, il ne restera plus que trois dernières primaires (le 1er juin à Porto Rico et le 3 juin dans le Montana et dans le Dakota du Sud).
Quoi qu’il arrive, et malgré une campagne pleine de rebondissement, la fin semble proche pour les primaires démocrates.
1 commentaires:
Les présidentielles américaines pèseront demain sur la paix mondiale. Je souhaite que les partis démocrate et républicain désignent la "Personne" qu'il faut pour l'élection présidentielle. Qui vote pour qui et sur quels critères. Les américains sont-ils préparés à élire le meilleur des candidats? L'Amérique est-elle prête à vivre avec un Président (homme noir ou femme blanche).
Il ne suffira donc pas de gagner les primaires ou l'élection présidentielle mais aussi et surtout d'avoir un gouvernement, un programme et une vision de l'Amérique du futur.
Prions pour le peuple Américain et que Dieu lui accorde toute sagesse pour voter utilement.
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