Après plusieurs longs mois de campagne, la course à la Maison Blanche est entrée dans sa dernière ligne droite. Avant même l’issue du scrutin, cette élection s’annonce de toute manière historique. S’il venait à remporter l’élection, Barack Obama deviendrait le premier président Afro-américain de l’histoire du pays et si John McCain gagnait mardi, Sarah Palin occuperait le poste de vice-présidente. Quel que soit le résultat de l’élection, un chapitre de l’histoire américaine sera tourné à partir du 4 novembre.
Du côté des démocrates, l’heure est à la conquête des Swing States qui avaient voté en faveur de George W. Bush, lors de la dernière élection de 2004. Fidèle à sa stratégie initiale, le sénateur de l’Illinois ne manque pas une occasion de rappeler que l’Amérique a besoin de changement, et que les électeurs auront à choisir entre le prolongement de la politique de l’Administration actuelle et le renouveau apporté par les démocrates. Mais Barack Obama souhaite surtout maintenir la mobilisation de ses partisans jusqu’au scrutin. En effet, rien n’est encore joué et tout peu basculer à la dernière minute. Certains sondages publiés cette semaine, indiquaient que le camp démocrate était entrain de perdre quelques points au niveau national.
Il faut dire que le camp républicain ne ménage pas ses efforts pour rattraper son rival. Légèrement distancé dans les sondages, John McCain se déclare pourtant confiant à quelques heures de ce scrutin historique et compte sur la mobilisation de ses partisans, ce 4 novembre. Ce vendredi, le sénateur de l’Arizona a obtenu le soutien du gouverneur de la Californie, Arnold Schwarzenegger. Afin de mobiliser la base du parti, les républicains n’ont pas hésité, une nouvelle fois, à jouer la carte du patriotisme et de l’expérience : « mesdames et messieurs, je ne fais que jouer les héros dans mes films ; John McCain, lui, est un vrai héros » a précisé M. Schwarzenegger.
Vous l’aurez compris, à quelques jours du scrutin, chacun des candidats se retranche derrière ses positions et vante ses qualités de manière à mieux convaincre les derniers électeurs indécis…
Du côté des démocrates, l’heure est à la conquête des Swing States qui avaient voté en faveur de George W. Bush, lors de la dernière élection de 2004. Fidèle à sa stratégie initiale, le sénateur de l’Illinois ne manque pas une occasion de rappeler que l’Amérique a besoin de changement, et que les électeurs auront à choisir entre le prolongement de la politique de l’Administration actuelle et le renouveau apporté par les démocrates. Mais Barack Obama souhaite surtout maintenir la mobilisation de ses partisans jusqu’au scrutin. En effet, rien n’est encore joué et tout peu basculer à la dernière minute. Certains sondages publiés cette semaine, indiquaient que le camp démocrate était entrain de perdre quelques points au niveau national.
Il faut dire que le camp républicain ne ménage pas ses efforts pour rattraper son rival. Légèrement distancé dans les sondages, John McCain se déclare pourtant confiant à quelques heures de ce scrutin historique et compte sur la mobilisation de ses partisans, ce 4 novembre. Ce vendredi, le sénateur de l’Arizona a obtenu le soutien du gouverneur de la Californie, Arnold Schwarzenegger. Afin de mobiliser la base du parti, les républicains n’ont pas hésité, une nouvelle fois, à jouer la carte du patriotisme et de l’expérience : « mesdames et messieurs, je ne fais que jouer les héros dans mes films ; John McCain, lui, est un vrai héros » a précisé M. Schwarzenegger.
Vous l’aurez compris, à quelques jours du scrutin, chacun des candidats se retranche derrière ses positions et vante ses qualités de manière à mieux convaincre les derniers électeurs indécis…
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